Mission completed

Ce soir j'ai rempli l'objectif de mon week-end et j'en suis assez satisfait, d'aileurs l'auto-satisfaction c'est mon truc..

Dans World of Warcraft j'ai enfin atteint le niveau 30 et je me suis fait les prisons de Stormwind tranquilou..

J'ai fini mon épisode du disque-monde qui trainait depuis 2 semaines..

Et surtout j'ai réussi à avoir mon ex au tel à Pekin, ce qui a clarifié une grande partie de mon organisation du mois de mai.

Sinon rien de spécial car ce dimanche a été, dans l'optique de l'accomplissement de mes  objectifs prioritaires, centré sur moi-même en tant qu'homme d'interieur, c'est à dire que je n'ai pas mis le nez dehors. En bon celibataire regressif j'ai baigné dans ma propre atmosphère face à mon bouquin et mon PC avant d'ouvrir les fenetre et de faire bruler mes fameuses et solitaires bougies à l'eucalyptus..

Et comme cet article est d'un ininteret rare je vais vous raconter une histoire comme ça vous ne serez pas venu pour rien.

Alors c'est un gars qui est déprimé, il decide d'aller voir un psychiatre pour lui dire son mal de vivre et comment tout lui parait à la fois vain et sutrhumain à accomplir. Comment chaque instant emotionnel joyeux ou triste lui donne envie de pleurer.

La réponse du psychiatre est simple: "Ecoutez monsieur ma réponse est simple, le clown Paillasse passe ce soir en ville, il est vraiment fantastiquement drole, allez le voir ça vous remontera

-Mais docteur,...je suis paillasse"

Avez-vous remarqué comme les gens à qui on raconte une histoire s'attendent à rire à la fin? Quel serait l'interet sinon?